Tous droits réservés Alain Choubard, décembre 2010. Reproduction
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LES MONUMENTS AUX MORTS SCULPTES EN FRANCE : CÔTES-d'ARMOR
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Callac
ARRONDISSEMENT : Guingamp.
CANTON : Callac.
SCULPTEUR :
?.
EDITEUR :
MARBRERIES GENERALES (Urbain Gourdon directeur), Paris.
ANNEE DE REALISATION (de la sculpture) : 1923.
datation inscrite sur le monument : non.
DATE D'INAUGURATION : 23 septembre 1923.
MATERIAU (de la sculpture) : galvano-bronze (agglomérat recouvert d'une pellicule de cuivre).
COÛT GLOBAL : 22.780 F.
OEUVRES EN RAPPORT : intitulée Poilu mourant en défendant le drapeau (n° 2152 du catalogue des Marbreries), cette sculpture de série est présente sur le monument de dizaines de communes dans toute la France. Selon les res-
sources dont disposait la municipalité, l'effigie se déclinait en bronze, marbre, pierre artificielle, ou, comme ici, en galvano-bronze. A l'instar des autres oeuvres au catalogue des Marbreries, l'auteur du modèle est inconnu.
INFORMATIONS DIVERSES : si le piédestal existe toujours, la sculpture, elle, a disparu à une date indéterminée, sans doute à cause de la fragilité de son matériau face aux intempéries. On la remplaça alors par une effigie plus moderne.
SOURCES :
Archives Départementales, 2 O 25/3.
CANTON : Callac.
SCULPTEUR :
?.
EDITEUR :
MARBRERIES GENERALES (Urbain Gourdon directeur), Paris.
ANNEE DE REALISATION (de la sculpture) : 1923.
datation inscrite sur le monument : non.
DATE D'INAUGURATION : 23 septembre 1923.
MATERIAU (de la sculpture) : galvano-bronze (agglomérat recouvert d'une pellicule de cuivre).
COÛT GLOBAL : 22.780 F.
OEUVRES EN RAPPORT : intitulée Poilu mourant en défendant le drapeau (n° 2152 du catalogue des Marbreries), cette sculpture de série est présente sur le monument de dizaines de communes dans toute la France. Selon les res-
sources dont disposait la municipalité, l'effigie se déclinait en bronze, marbre, pierre artificielle, ou, comme ici, en galvano-bronze. A l'instar des autres oeuvres au catalogue des Marbreries, l'auteur du modèle est inconnu.
INFORMATIONS DIVERSES : si le piédestal existe toujours, la sculpture, elle, a disparu à une date indéterminée, sans doute à cause de la fragilité de son matériau face aux intempéries. On la remplaça alors par une effigie plus moderne.
SOURCES :
Archives Départementales, 2 O 25/3.